Poèmes

Salutations à tous!

Je ne suis guère poète, mais il me plait d'écrire sous l'inspiration Divine du Miséricodieux Samiel... Alors, à son honneur, voilà quelques lignes.

Il disparait comme il surgit, discrètement,
Se volatilise dans l'espace.
En un instant dans mes tourments,
Dans mon cœur, il prend sa place

Tel un ange aux ailes diaphanes,
Effacé dans le rai du soleil ou de la lune.
Comme un être sacré, loin d'être profane,
Il traverse mon désert dépourvu de dunes,

Il y sème des parcelles de bonheur,
Qui fleurissent et enjolivent mes jours moroses.
Il caresse mon égo, en susurrant des mots flatteurs,
Qui me valorisent et rendent mes lendemains plus roses.

Et si je sens comme une brise tiède sur ma nuque,
C'est que son souffle chaud vient me réchauffer.
Pour ne plus être envahi par la fraicheur cynique
De ces heures de solitudes glacées qui vous laissent frustré.

C'est comme un ange du pays des rêves,
Qui apparait, repart de façon fulgurante.
Un être de lumière magnanime, qui m'épaule sans trêve,
Lorsque tout s'effondre sous mes pieds, et que mes forces sont fuyantes.

Alors quand nous nous sentons comme des exclus
Sur cette terre immonde.
A tire d'aile, il m'emporte pour vivre en recluse,
Nos chers moments de songes où nos esprits vagabondent

~Amélia Beauregard~
Novice de l'Ordre des Prêtres de Samiel

J'ai écris ceci il y a peu de temps, après un rêve fait il y a quelques nuits. Ça m'a rappelé l'été, lorsque j'étais gamine...

Lumière du Ciel
Couleur de Miel
Lieu de Merveilles
Volent les abeilles

Les champs de fleurs rayonnent
Les enfants s’abandonnent
À leurs jeux insouciants
L’âge des heureux instants

Des belles fraises à la crême
Ça, tout le monde les aimes!
Saveurs pleines d’allégresse
Bonheur de la jeunesse

Et même si, parfois, bobos il y a
Se trouve Maman, qui sera toujours là
Car si les amis sèchent les larmes éphémères
Rien n’est plus doux que la tendresse d’une mère


~ Amélia Beauregard ~

Wow, je suis impressionné et presque charmé ...

Je ne suis point poête, même si la plume m'est parfois facile. Mais j'apprécie une si belle lecture. L'art de l'écriture se perd, et il est agréable de voir que certains maintiennent la flame ...

Continuez dame Amélia. Même si je ne saurais trahir mon serment à Turenbar, j'apprécie de vous lire ...

Comme il est agréable d'avoir des compliments en ces terres tumultueuses! C'est fort apprécié, sachez-le.

Un petit poème, moins évocateur, mais relatant le vent libertin...

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Dans les vallons et les contrées
Le vent chante de douces mélopées
Mêlées d’amour et de tristesse
Elles effleurent nos joues de tendresse

Ah! Mais la brise et moi sommes semblables
De nous mettre en cage, ils en sont incapables
Sauvages et voir même teintés d’insouciance
Intuables, même par les solides lances

Mais le vent se lève, et souffle sa colère
Rugit sa frustration bien amère
Les échos brulants de ses éclairs
Feront trembler la Terre et les Mers

Malheur à celui qui veut capturer l’orage
Il n’en récoltera qu’un plus grand carnage
Le noir de ses nuages sont forts déconcertants
Tout comme ses pleures électriques, bien plus frappants


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~ Amélia Beauregard ~

La priere du guerrier

Dieu de la guerre je t'appelle
Mes armes a mon flanc
Je cherche une vie honorable
Libre de toute fausse vertue

Que les cris de guerre
Me fouettent les sangs
Couvre moi de la mort
Si jamais j'échoue
Gloire, majesté et unité

Pour mon Miséricordieux Astrael...Hommage à sa douceur
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Nuit de mirage
D'un bleu plumage
Souffre mes pleures
Entend ma douleur

D'un éclat de crystal
Léger comme un pétal
Mes larmes s'écrasent sans bruit
Innondant l'insatiable infini

Mais quand reviendras-tu?
Moi, qui n'attend que ta venue
Levant mes yeux vers le Ciel
J'attendrai ton ultime appel
Suprême Samiel...
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° Amélia Beauregard °
Novice de l'Ordre des Prêtres de Samiel

Toujours à son Divin Honneur....
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De sa main il guide mes pas
De ses lèvres il chante tout bas
Ses exploits sur notre grand monde
D’une seule voix, détruit l’Immonde

Et en le sachant faire ses oeuvres si bien
Je ne puis que vouloir faire de même, en vain
Car rien en cet univers n’égale sa Bonté
Même pas un miroir, jumeau de sa Beauté

Sa Lumière m’éblouiera toujours
M’empêchant de le suivre, jour après jour
Car s’il reste invisible au yeux des hommes
Il n’en est pas moins présent, en somme

Samiel, tes ailes blanches sont signe de Pureté
Ta peau de porcelaine, reflet satiné
Daigne poser tes yeux sur ta fidèle servante
Et voit en elle une âme des plus clémentes

Que ta grâce exauce son plus cher désir
Celui de protéger et de servir
Ceux qui on un besoin cruel
D’être réchauffés sous ton Soleil
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~ Amélia Beauregard ~

Novice de l'Ordre des Prêtres de Samiel

Hommage à la plus étonnante de toutes les gnomes!

Chapeau chapeau!
Tu es bien beau!
Que tu sois haut
Ou rempli d’eau!

J’aime te savoir sur ma tête
Sans toi, je ne peux faire la fête!
Car ta forme m’éblouis et m’émerveille
C’est encore mieux que trois gateaux au miel!

Spoukenik, comment fais-tu dis-moi?
Pour garder un tel monument si droit?
Alors qu’il est tout aussi haut que toi?
Cela tient du miracle, ma foi!

Quand je te vois virevolter ainsi
Dans ta robe rouge qui est ton habit
Je ne puis m’empêcher de rire, j’en ai peur
Car oui, tu arrives à chasser tout mes malheurs

Spoukenik, Spoukenik!
Tu marches à l’hypersonic!
Qui s’y frotte s’y pic!
On ne se lasse pas de tes mimics!

Personne ne sait comment écrire ton nom!
Quand on se fausse, tes yeux deviennent ronds
Et là, tu cris, tu hurles à l’indignation!
Mais on n’y peut rien! C’est ton Imagination!

Spoukenik
Spoutenik
Spoukenic
Spoukolic....

~ Amélia Beauregard ~

Autant dire les VRAIES choses!

Quand on dit que la vie est un cadeau
Mon cadeau doit être empoisonné,
Car je me sens emprisonnée
Dans un monde loin d'être beau...

Des fois, j'ai envie de devenir une criminelle,
Pour pouvoir me débarrasser des méchants,
Ces méchants qui font de mon paradis un enfer

Il veut empoisonner ma vie,
C'est un de ces buts bien précis
Et il y est arrivé,
A me faire regretté d'être née...

Je fais des rêves bien fous,
Ou je lui fout une raclée,
J'aimerais tant qu'il devienne réalité,
Mais je rêve un peu trop...

Si il pouvait ressentir,
Juste ne fusse qu'un peu,
Le mal qu'il me fait subir,
Et qui ne cesse de me détruire

Petit à petit je meurs,
Et tout cela en mon intérieur,
Pour que personnes ne voient
Ma vraie nature,
Une jeune fille très fragile
Qui se casse comme un morceau d'argile
Qu'on lancerait contre un mur...

­~Estelle l'Étrange~
Étudiante Alchimiste